Changer de plateforme, c’est souvent aussi stressant qu’excitant. Migrer de WordPress vers Webflow, ce n’est pas juste déplacer des pixels : c’est repenser son image, ses process, et — crucial ! — préserver sa visibilité.
Vous avez peur de voir votre trafic chuter ? C’est légitime. Pourtant, en 2025, les données montrent qu’une migration maîtrisée n’entraîne pas de perte, voire… un vrai boost sur vos stats ! Alors comment aborder cette transition, étape par étape, sans risquer de disparaitre des radars Google ? On vous dit tout, avec des conseils concrets, des statistiques récentes et des retours d’expérience vécus chez Mirax et ailleurs.
Plus de 40 % des sites mondiaux tournent sous WordPress, c’est colossal ! Mais voilà, l’édition devient complexe, la sécurité demande de la vigilance, la multiplication des plugins n’arrange rien… Résultat : on finit par bricoler, accumuler les plugins et perdre le contrôle. C’est la raison pour laquelle 17% des migrations WordPress en 2025 sont motivées par la complexité d’édition, et 16,4 % pour des soucis de sécurité (Étude de cas - migration).
Face à WordPress, Webflow s’est imposé en outsider design-first. Son interface no-code, sa rapidité d’exécution et ses performances techniques séduisent agences, directions marketing… mais aussi Google : gains sur les Core Web Vitals, déploiement rapide, SEO intégré. Bref, ça coche toutes les cases pour ceux qui veulent reprendre la main sur leur site — sans plongeons dans le PHP.
Parce que migrer, ce n’est pas un simple copié-collé. Un mauvais transfert, et le château de cartes SEO s’effondre : URLs changées à la volée, balises oubliées, redirections mal gérées… Résultat : Google redécouvre un nouveau site, vous perdez votre historique, vos positions, vos visiteurs. Voilà pourquoi la planification et l’accompagnement sont non négociables.
Donc : pas de mythe. Oui, vous pouvez migrer sans craindre de dommages. Mais il y a une condition : suivre une feuille de route structurée, avec un audit SEO, un mapping précis, et surtout, un pilotage main dans la main avec les équipes techniques et métiers. C’est d’ailleurs la spécialité de Mirax, expert WebflowYou want results ? Let’s play as a team.
Plutôt que de vous assommer avec la théorie, on vous propose notre process maison — affiné sur des dizaines de projets (de la PME lyonnaise au pur player digital). Voici comment éviter la casse, étape par étape.
Quelle page de WordPress renverra où sur Webflow ? Ne laissez RIEN au hasard. Chaque URL existante doit avoir sa cousine sur la nouvelle plateforme — ou, si elle disparaît, une redirection 301 solide. Un oubli ? C’est du trafic organique qui s’évapore… et du crawl budget gâché. Notre conseil : utilisez des tableaux de migration très détaillés, et vérifiez chaque point lors du go-live.
Webflow ne propose pas d’outil magique d’import depuis WordPress, tout se fait en mode « manuel haute-précision ». Oui, ça peut sembler fastidieux, mais c’est LA garantie de ne rien laisser sur le carreau. Profitez-en pour nettoyer vos textes, alléger vos images, revoir les balises alt (crucial pour le SEO et l’accessibilité). Pensez aussi à la structure Hn (h1, h2, h3…) : Webflow permet une maîtrise chirurgicale de chaque détail éditorial.
C’est souvent ici que se joue la différence avec WordPress. Webflow dégaine un code propre, rapide, sans dépendances inutiles — tout ça, Google adore. À la clé : pages qui s’affichent instantanément, design responsive sur mobile, navigation fluidissima. Sur des refontes récentes, nos clients ont gagné 15 à 20 % de performance PageSpeed après passage sur Webflow (source Mirax).
À J+1, soumettez votre nouveau sitemap sur la Search Console. Surveillez le crawl, les erreurs potentielles, le positionnement des pages. Suivez vos mots-clés phares, comparez les courbes avant/après (impressions, clics, positions). Chez Mirax, un reporting précis est systématique durant les premières semaines.
Leur site WordPress donnait une image dépassée, peu alignée sur leur vrai niveau d’expertise digitale. Objectif : booster la crédibilité, garder la simplicité, assurer la réassurance pour les talents ET les clients. Nouvelle maquette sur-mesure, landing dense et animée, responsive aux petits oignons… et surtout : pas de perte de référencement, car l’essentiel était ailleurs (image – pas conversion brute). Résultat : “un support à la hauteur de notre identité. Moderne, propre, cohérent. Mission accomplie.”
Vous attendez du lead qualifié à Lyon, à Paris, dans un secteur ou une niche ? Aucun souci. Webflow gère nativement la structuration des métadonnées locales, la personnalisation des balises, la rapidité d’affichage sur mobile. Et pour les marchés multilingues, c’est souple : nos refontes de sites comme Captain Prospect ou MafiaFoot intègrent plusieurs langues en gardant une cohérence SEO (Étude de cas : site Multilingues Webflow).
Se lancer seul dans une migration WordPress vers Webflow, c’est risqué. Un vrai audit, un mapping solide, une migration SEO-friendly… c’est un métier. Notre équipe accompagne startups, PME et agences dans la bascule, sans sacrifier le référencement ni l’identité.
Vous souhaitez diagnostiquer votre projet ? Discuter avec un expert Webflow ? Profiter d’un regard extérieur pour challenger vos objectifs ? Contactez Mirax ou découvrez nos cas clients ici. En 2025, on n’improvise plus son virage digital. On l’anticipe, on le sécurise, on le rend performant. Et si votre prochain projet digital se jouait maintenant ?
Migrer son site de WordPress vers Webflow sans perte de trafic n’est plus une chimère. Les retours terrain, les statistiques et notre expérience le prouvent : quand c’est planifié, encadré, piloté — c’est tout bénéf !
Webflow, c’est la promesse d’un site rapide, design, agile… mais sans sacrifier le référencement. Votre projet mérite ce niveau d’exigence. Prêt à passer le cap ? Parlons-en et construisons, ensemble, votre prochaine réussite digitale.